Installation définitive des Ailes à Lasne

Début de l’histoire dans l’espace public de la Commune

Les Ailes définitivement installées à Lasne
Bronze, 2015
100cm | L. 67cm | P. 25cm

Retour en images sur l’installation définitive des Ailes, une œuvre du sculpteur belge Isabelle Thiltgès acquise par la Commune de Lasne (Belgique), en la présence de Catherine Matthys, responsable du service Culture de la Commune, et de Michel Neuwels, Président de la Biennale de la sculpture de Lasne.

Isabelle Thiltgès avec Catherine Matthys, responsable du service Culture de la Commune de Lasne
et Michel Neuwels, Président de la Biennale de la sculpture de Lasne

Une mise en place concrétisée le 22 septembre dernier au plus grand bonheur de Julie Peeters, échevine à la Culture, et qui s’inscrit dans la continuité de la dernière édition de la Biennale de la sculpture de Lasne placée, en 2020, sous l’égide d’un autre oiseau d’Isabelle : celui cette fois de La Grande Envolée, invitée d’honneur dans le cadre du partenariat établi avec la Biennale de Montreux, où elle est désormais installée définitivement en bronze suite à l’obtention du Prix du Jury (retour sur La Biennale de Lasne en mots & en images ici).

Début de l’histoire de la sculpture dans l’espace public lasnois et l’occasion d’un focus sur la pièce qui illustre une fois encore l’affection d’Isabelle Thiltgès pour les oiseaux, un thème cher dont elle livre, depuis de nombreuses années, de multiples visions toujours sensibles et renouvelées.

Les Ailes, œuvre incontournable dans la merveilleuse volière à ciel ouvert d’Isabelle, ou l’histoire d’une conversation silencieuse entre deux oiseaux affrontés en miroir donnés à voir dans l’instantanéité d’une pause, ailes croisées. Laissé libre, rendu en lignes précises et ciselées, le duo s’entretient avec une majesté naturelle se passant d’apparat ; rayonne sans emphase ; impressionne par sa beauté à l’équilibre subtil entre puissance et légèreté.

Quand le temps se suspend à l’image du vol : la magie des Ailes, gardiennes d’un échange secret que nul, à leur rencontre, ne peut s’empêcher d’espérer un jour partager.

Sophie Cloart